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dimanche 19 mai 2024
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L’univers parallèle de Petra Eriksson

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Petra Eriksson est une illustratrice et artiste visuelle indépendante. Originaire de Suède, elle réside actuellement aux Pays-Bas après avoir passé de nombreuses années à Barcelone.

Elle trouve principalement son inspiration dans les couleurs et motifs de la nature mais aussi dans les formes humaines. Elle  travaille aussi beaucoup avec l’idée de camouflage/disparition, parfois c’est un jeu visuel de formes qui se mélangent ou se cachent, d’autres fois c’est plus thématique avec une personne ou quelque chose qui disparaît dans un autre monde plus coloré.

Son travail est entièrement axé sur la couleur, c’est ce qui la rend heureuse et l’inspire. Sa vision de son travail ? Un univers parallèle coloré en constante expansion.

Petra est représentée par les agences @HandsomeFrank dans le monde entier et @weiweiprd en Scandinavie. Elle a collaboré avec des marques comme Apple, Adobe, The New York Times, The Oscars, Petit Pli et bien d’autres.

Petra sur Instagram - Site web

Art & Sport : 13 expositions à travers 13 régions de France dans des lieux inattendus.

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Art & Sport ce sont 13 expositions et expériences esthétiques, à travers 13 régions de France et dans des lieux inattendus !

Quand l’art rencontre le sport…
L’exposition part du postulat que le sport est une activité populaire alors que l’art contemporain reste perçu trop souvent comme élitiste. Une opposition superficielle puisque art et sport partagent leur moteur : la passion. Ils sont tous deux des intensificateurs d’émotion. Ils offrent aussi de nombreuses formes d’expression et une multiplicité de pratique.

En s’appuyant sur les collections des 22 Fonds Régionaux d’Art Contemporain de FranceArt & Sport présente des œuvres variées allant de la vidéo à la sculpture, dans des endroits inhabituels et sportifs tels que des stades, piscines ou skate-parks.

Explorez l’art contemporain loin des contextes traditionnels, dans une ambiance drôle, surprenante ou contemplative. De l’exploration des mondes marins dans une station nautique à la représentation du multicolore face à un mur d’escalade, les œuvres présentées sont parfois en écho à la structure d’accueil et toujours proposées dans un dialogue avec le sport, sans que ce dernier devienne le sujet principal.

Dans une démarche accessible, Art & Sport laisse derrière lui les clichés sur l’art contemporain et propose la rencontre de deux mondes qui ont en commun passion, émotion… et multiplicité des formes d’expression !

Les lieux participants sont : Nevers, Saint-Brieuc, Mulhouse, Douaisis, Pau, Le Mans, Grenoble, Marseille, Saint-Lô, Paris, Corse, Tours, Occitanie. De mai à octobre 2024
13 expositions dans les 13 régions de France
Expositions produites par GrandPalaisRmn Plus d'infos : https://www.grandpalais.fr/fr/evenement/art-sport-2024

Objets graphiques : Rencontre avec Carmine Marini 

Carmine Marini vit un crochet à la main et réalise de fascinants objets graphiques, sans aucune structure, mais uniquement à l’aide de différents points de tension. Nous lui avons demandé de nous parler de son art, de sa passion, de l’extension de son corps.

Tisser une seconde peau…

« Sur les îles du lac Titicaca, les tisserands sont majoritairement des hommes. Ils vont partout avec leurs outils, tissant sur tous les chemins et par tous les temps. Leurs tissages font aussi partie de leur peau, et ils portent leurs histoires. En effet, ils tissent des motifs illustrant le cycle de la vie et des événements de leur culture : naissance, sexe, s’ils possèdent des terres, s’ils sont célibataires ou mariés, s’ils ont une maison, des enfants… Et quand ils se marient, ils incorporent les cheveux de leur femme au manteau qu’ils portent au quotidien. »

« Pour moi, le crochet est devenu une extension de mon corps, me permettant de méditer et d’exprimer mon histoire et ma personnalité. Chacune de mes créations est remplie avec des émotions retranscrites par la maille, le point, la ligne, le fil, ka couleur. Toutes les récurrences de mon quotidien. »

Une approche unique

« Mon art est basé sur la répétition d’une technique au crochet combinée avec différents matériaux et médiums. Mon objectif est de découvrir l’éventail des capacités offertes par cette technique et, si possible, découvrir une manière unique d’utiliser un outil. Je vous présente ici une sélection d’objets graphiques. »

« Une série de vases uniques entièrement réalisés en coton naturel. Le vase prend progressivement une forme unique composée de motifs répétitifs grâce à une technique particulière de point de crochet basée sur la tension et l’élargissement. Le point de crochet est également unique.

Le processus créatif ne fait rien intervenir d’autre que du fil de coton et un crochet : la structure prend forme naturellement grâce aux différents points de tension utilisés lors de l’assemblage du vase, donc aucune structure n’est utilisée. »

En découvrir plus : Instagram - Site 

Aperçu, Biennale de design graphique

BORDEAUX 23-26 mai 2024

Une invitation à la célébration :

« Le graphisme est un métier de passage et de partage. À la croisée des chemins entre
le journalisme, l’enquête, l’ingénierie, l’art et l’orchestration, les graphistes mettent
leurs qualités plastiques et conceptuelles au service de l’autre – commanditaire,
usager, public…
Le graphisme n’est pas élitiste. Il accompagne notre quotidien – affiche dans la rue,
étiquette de bière, enseigne de magasin, ticket de transport public, magazine, livre,
journal, exposition, site internet… Ces images sont visibles et accessibles à tous.
Professionnel·les, étudiant·es, commanditaires, amateur·ices, familles, simples
curieux·ses, on vous invite à venir découvrir, pratiquer, partager, échanger, vibrer…
Notre métier est passionnant, fêtons-le ensemble ! »

9 lieux pour des expositions, conférences, ateliers, concerts… ou encore journée professionnelle.

→  Découvrez le programme


FESTIVAL GRATUIT – TOUS PUBLICS
Un projet conçu et porté par l’association Approche, graphismes en Nouvelle-Aquitaine
Du 23 au 26 mai 2024 à Bordeaux puis dans la région Nouvelle-Aquitaine

La BD à tous les étages au Centre Pompidou

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Le 9e art prend ses quartiers au Centre Pompidou en partenariat avec le fonds Hélène & Édouard Leclerc. « La BD à tous les étages » explore cette expression artistique dans toute sa diversité et se déploie dans tous les espaces du Centre Pompidou.

Programme

Du 29 mai au 4 novembre 2024

« Bande dessinée (1964 – 2024) » | Exposition, Galerie 2, niveau 6

« La bande dessinée au Musée » | Accrochage Musée, niveau 5

« Corto Maltese. Une vie romanesque » | Exposition, Bibliothèque publique d’information, niveau 2

« Tenir tête ». Une exposition-atelier de Marion Fayolle, Galerie des enfants, niveau 1

Du 29 mai au 19 août 2024

« Revue Lagon, le chemin de terre » | Exposition  | Niveau -1

Du 29 mai au 7 juillet 2024

« La BD hors des cases » | Programmation vivante | Niveau -1

→ Centre Pompidou, place Georges-Pompidou, Paris 4e

Martha Jungwirth : 6 décennies de travail artistique au Musée Guggenheim Bilbao

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Avis à nos lecteurs espagnols, le musée Guggenhein de Biblabo consacre une exposition à l’artiste autrichienne Martha Jungwirth.

Cette exposition explore l’œuvre de Jungwirth des années 1970 à nos jours, et comprend une sélection variée d’aquarelles et de peintures à l’huile sur papier, toile et carton, ainsi que quatre livres d’artiste. L’artiste autrichienne Martha Jungwirth, née en 1940 à Vienne, est reconnue pour son vocabulaire abstrait unique, ancré dans le monde physique.

Martha Jungwirth Sans titre, 1990 Huile sur carton mince, marouflé sur toile 186 x 142 cm Collection particulière © Martha Jungwirth, Bilbao, 2024 Photo Auktionshaus im Kinsky GmbH, Vienne

Les peintures et les dessins de Martha Jungwirth explorent magistralement la frontière subtile entre réalisme et abstraction. Près de soixante-dix œuvres sont à découvrir.

du 7/06/2004 au 22/09/2024
Salles : 205, 206, 207 Et 209
Commissaire : Lekha Hileman Waitoller

Étapes : numéro spécial Diplômes et écoles d’art

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Nous sommes ravis de vous annoncer le retour du numéro spécial diplômes d’étapes :

Le numéro spécial diplômes d’étapes: rassemble chaque année plus de 30 projets de diplômé·es d’écoles d’art et de design françaises et européennes.

Candidatez sur diplomes.etapes.com pour intégrer le prochain numéro diplômes de la revue étapes: (parution fin 2023, numéro 274).

Bonne nouvelle pour les diplômés de 2023 !

Nous avons conscience que les diplômés de 2023 n’ont pas eu leur chance d’être publiés dans étapes : suite à l’interruption de la parution de la revue. Par conséquent, nous acceptons les projets de diplômes 2023 ET 2024.

↻ Soumettez votre projet en remplissant un simple formulaire, avant le 1er septembre 2024 et vous serez peut-être sélectionné·e !

Retrouvez toutes les informations et conditions de candidatures sur diplomes.etapes.com

étapes : abonnez-vous !

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Chers lecteurs,

Après l’annonce du retour de votre revue de design préférée, vous avez été nombreux à nous solliciter concernant les abonnements. Nous avons le plaisir aujourd’hui de vous annoncer que nos formules d’abonnements sont disponibles !

Abonnement 6 mois / 2 numéros : 39€ (étudiants sur présentation d’un justificatif 25€, expédition à l’étranger 49€)
Abonnement 1 an / 4 numéros : 78€ (étudiants 40€, à l’étranger 88€)

Rendez-vous sur : https://www.etapes.com/boutique/

Deux numéros verront le jour en 2024 : le numéro 273 se consacrera aux 30 ans de la revue et le numéro 274 aux Diplômes des écoles d’art et design.

Merci pour votre fidélité et votre soutien

L’artiste invisuel comme citoyen expérimental – partie 2

Perturbons

Gilbert Coqalane(2) est l’un de ces artistes qui s’affranchit coûte que coûte des institutions. Il est l’initiateur du mouvement perturbationiste. Il définit la perturbation « comme un langage artistique qui perturbe la réalité d’un espace public, ou la perception de ses utilisateurs ». Un ensemble d’offensives constituent une perturbation. Gilbert Coqalane se réapproprie l’espace public, se réclamant de ce courant perturbationiste. Inauguré à Nancy le premier novembre 2021, le perturbationisme est le premier mouvement d’art invisuel dans l’histoire.
L’artiste s’entoure de militants écologistes et de personnes issues du milieu du droit au sein du CDRAO (3)(Centre de Documentation, Recherche, Application des Offensives) qu’il a fondé en 2021. Le CDRAO est un lieu permettant de créer, développer et faire la promotion de la perturbation et de l’offensive comme une action artistique. Bien loin des lieux artistiques conventionnels, il a toujours pratiqué son art dans l’espace public. Les actions coup de poing qu’il mène, sont des offensives pour faire réagir l’opinion publique sur des causes socialeset environnementales souvent délaissées : « On crée des perturbations pour faire réagir mais aussi préparer les citoyens. Personne n’aime ça mais elles sont nécessaires. Si les citoyens ne s’y préparent pas convenablement, les dominants peuvent mieux les contrôler. On le voit pour certaines manifestations où ils peuvent être muselés ». Tout devient matière au détournement au CDRAO : le quart d’heure de célébrité d’Andy Warhol se transforme en quart d’heure de solidarité. « Perturbationiste » n’a plus deux n comme le terme original pour que le travail solidaire ne s’y exprime dans « aucune haine »

Offensive Retourne ta rue – Gilbert Coqalane et Nathalie Sejean – Ronchin, mai 2022 – Crédit CDRAO
Offensive Écocide – Gilbert Coqalane et des policiers avant sa garde à vue – Essey les Nancy, juillet 2020 –
Crédit CDRAO

Gilbert revient sur ses actions les plus marquantes où il a visé d’une flèche, arc vissé sur son épaule, un bison en plastique pour dénoncer l’écocide contre les animaux d’élevage dans un Buffalo Grill. Après cette offensive, l’artiste est placé par la police en garde à vue. Quelle ne fut pas sa révolte quant à l’idée qu’un bison en plastique compte manifestement plus et ait plus de droits que de vrais animaux.
Le CDRAO ne s’arrête pas là quand certains membres, lors de l’offensive « il va mourir », ont ciblé le Leclerc de Vandoeuvre où les crabes avaient leurs tendons coupés. En octobre 2022, les Perturbationistes délivrent Michelle, un crabe vivant du rayon poissonnerie et l’embarque alors à destination de Landernau pour le libérer dans l’océan. Cette pratique des tendons coupés fait écho à la souffrance animale, ce que les perturbationistes ont
voulu dénoncer en volant ce crabe exposé. Récemment en Lorraine, leurs actions ont eu leur effet. C’est le cas dans le Leclerc de Frouard, où des crabes auparavant exposés ne le sont plus. Même si beaucoup de perturbations du quotidien passent inaperçues, Gilbert insiste aussi sur leur nécessité.

Michelle a été libérée de son vivier captif dans un rayon E. Leclerc par le collectif des « perturbationistes ». Post
de Mr Mondialisation
Michelle a été libérée de son vivier captif dans un rayon E. Leclerc par le collectif des « perturbationistes ». Post
de Mr Mondialisation

Être l’artiste de sa propre vie

Mariem Memmi (4) se revendique comme un artiste citoyenne expérimentale. C’est en expérimentant continuellement qu’elle peut remettre en question sa réalité, celle des autres et éveiller l’esprit critique : « L’art fait partie intégrante de la citoyenneté. J’ai découvert dans l’art invisuel des réponses a une multitude de questions que je ne trouvais pas ailleurs. L’art invisuel est un art liquide, mouvant, à l’image de mon approche artistique qui n’est jamais finie et qui interroge le concept de citoyenneté. En tant qu’artiste, je m’intègre dans une conception globale de la vie comme le ferait un citoyen du monde. Je cherche à m’exprimer dans le concret en étant actrice et artiste de ma propre vie. L’art invisuel est le meilleur langage pour s’ouvrir au monde, pour voir et faire autrement » répond-t-elle. Directrice de l’École européenne pour l’intégration des migrants par l’art (l’EEIMA)5, qu’elle a fondée à Bruxelles en 2022, Mariem Memni s’engage en faveur de l’émancipation des migrants : « En créant cette école, je voulais montrer la migration autrement que sous un angle péjoratif. »

Mariem Memni au Parlement Européen de Bruxelles avec Nicole Nketo Bomele, députée francophone
bruxelloise.

Mariem développe le chata, qu’elle a inventé comme une pratique invisuelle pouvant se définir comme un «processus de conversion de l’énergie négative vers l’énergie positive pour garantir l’harmonie au sein d’un groupe ».

Mariem Memni, Directrice de l’École européenne pour l’intégration des migrants par l’art (EEIMA)

Le migrant n’est pas un problème : c’est une solution

L’EEIMA change la perception de la migration en rendant l’art accessible à tous pour qu’il ne soit plus discriminant et destiné à une élite ou à des publics privilégiés. Mariem considère la vie dans son ensemble comme un processus artistique. Elle déconstruit le modèle hiérarchique élitiste propre à l’art visuel et relève le pari de mettre des migrants au même rang que les artistes. Dans cette vision des choses, un migrant est une personne qui vit dans un espace nouveau et qui doit composer avec l’inconnu, tout comme l’artiste invisuel
expérimente et creuse des nouveaux chemins.


Être citoyen n’est pas le fait de posséder un passeport. Cela ne suffit pas. Le citoyen du XXIe siècle devrait devenir un être humain singulier, capable de penser et d’agir par lui-même, incontrôlable par des instances extérieures de plus en plus oppressantes. Libéré de l’objet d’art comme intermédiaire entre l’art et le réel, l’art invisuel permet de dissoudre les barrières entre profession et vie. Inventer sa forme d’art en lui donnant une place à part dans la société, c’est inventer sa vie. Si l’art invisuel permet de s’individuer, il permet aussi de se désindividualiser. Et c’est justement ce qui fait société : un art qui soude les habitants d’un même pays, et au-delà.

Grace à des pratiques non conformistes et audacieuses, des artistes invisuels comme Gary Bigot, Gilbert Coqalane et Mariem Memni, agissent au cœur de la société en adoptant une approche égalitaire et en valorisant la création émancipatrice. Ils brisent les schémas établis et démontrent que l’expérimentation artistique transcende les limites sociales, s’offrant par là une liberté essentielle pour s’exprimer pleinement en tant qu’être humain et artiste. L’art invisuel devient un moyen puissant de vivre sa citoyenneté, au plus profond de son être authentique. L’artiste citoyen expérimentateur peut alors perturber les perceptions, remettre en question les idéologies et ainsi éveiller l’esprit critique des citoyens.

(2) Artiste urbain invisuel, titulaire d’un DNREA (Diplôme national de recherche et d’expérimentation en art) de
l'ENDA (École nationale d’art de Paris), Président des éditions L’Armée Recrute, membre du Conseil
d’Administration de la Fédération de l’Art Urbain et intervenant scolaire.
(3)www.cdrao.fr
(4)Artiste invisuelle et Directrice de l'École européenne pour l'intégration des migrants par l'art (EEIMA) basée à
Bruxelles. Elle est titulaire d’un Master de l’ISBAS (Institut Supérieur des Beaux-Arts de Sousse) et d’un DNREA
de l'ENDA, première école dédiée intégralement à la recherche artistique.
(5) L’EEIMA est basée sur le fait que l’art invisuel peut être non pas un facteur d’intégration mais plutôt d’émancipation pour les migrants

Par Audrey Poussines

Les Mardis Graphiques : le graphisme des festivals

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Les Mardis Graphiques sont des conférences/table-rondes gratuits sur inscription.
Ils ont lieu un mardi soir, 2 à 3 fois par an, hors été.
On y parle d’identité visuelle et de graphisme dans différents secteurs.

Un Mardi Graphique se déroule en 3 temps :
– une première partie conférence de 20 à 30 minutes, pour faire un état des lieux,
– une table-ronde avec 3 à 4 invité(e)s, pendant 45 minutes, suivie des questions de la salle,
– un apéritif informel.
Pendant les périodes de confinement, certains Mardis ont eu lieu en webinaire, avec conférence + questions, sur un temps plus court (45 minutes).

Le prochain Mardi Graphique abordera le graphisme des festivals.


– à LISAA de Nantes, mardi 21 mai à 18h00, avec Appelle-moi papa et l’atelier Choque Le Goff, inscription sur ce lien  
– à l’EESAB de Rennes, mardi 11 juin à 18h00 – Infos à venir

C’est gratuit et ouvert à tous et toutes, sur simple inscription sur Eventbrite. Plus d’infos sur le site de Pollen Studio